J'ai quitté la ville pour aller travailler avec des paysans sans terre, des métayers, des ouvriers agricoles et des malheureux qui étaient l'épine dorsale de notre mouvement. Mon travail consistait à aller dans les villages et à la organiser pour la lutte armée.
C'était le seul moyen de prendre le pouvoir : un champ, un village, un district à la fois.