L’«L’affaire Dung» s’était étirée sur une décennie, avait déclenché une cascade d’événement et noué des liens à la fois délicats et forts entre une migrante vietnamienne métis, une historienne française pied-noir du Maroc, une ethnologue bourguignonne, un ambassadeur du Royaume chérifien et une fonctionnaire maroco-vietnamienne – surtout des femmes