Le grondement aux accents apocalyptiques des orgues de Staline et le staccato des fusils mitrailleurs composaient un hymne ŕ la mort dont les Tchadiens connaissaient désormais par cśur tous les couplets. […]
Mais qu’ils aient les poches pleines ou vides, tous pesaient d’un męme poids dans le viseur des snipers qui s’efforçaient de tromper leurs propres angoisses en faisant des cartons sur les fuyards.