Nicola Davies

Une petite fille fuit la guerre qui s’est abattu comme « une averse de grêle avec des roulements de tonnerre" et a « transformé toute la ville en un tas de ruines ». Elle fuit sur la route puis sur un bateau qui prend l’eau, mais la guerre la suit, omniprésente, jusque dans ses rêves. Elle marche encore à la recherche d’un endroit où la guerre n’est pas encore arrivée, mais la rencontre partout, dans les regards des gens qu’elle croise et qui lui ferment leur porte, et jusque dans une école où la maîtresse ne peut non plus l’accueillir, parce qu’il ne reste plus de chaise pour elle.

(...)

Un album riche et intelligent.



Article complet sur le blog.
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Cet album petite enfance est de ceux que je classerai dans les documentaires simplifiés de la médiathèque, catégorie animaux. Le lapin, le poisson, le caméléon, le pigeon et la grenouille demandent à l'enfant de trouver qui leur ressemble dans les quatre choix qui lui sont proposés. La dernière double page propose un petit jeu et dit à l'enfant dans quelle classification il peut trouver son appartenance.

Mon avis : Toujours à l’affût des livres qui s'adressent plus particulièrement à mon plus jeune public car ils ne sont pas si nombreux qu'on le pense - ici, on ne peut pas encore parler d'enfants lecteurs - et qui peuvent être sympathiquement utilisés pour les animations que nous leur réservons, je n'ai pu résister à la tentation d'acquérir cet album ! Une couverture épaisse et moelleuse, des couleurs vives et variées, des animaux dont le regard nous appelle grâce à de gros yeux remplis d'expression... Ça interpelle, vraiment. Alors on ouvre l'album. La présentation des énigmes est très ingénieusement mise en page. Sur la page de gauche, un animal donne deux de ses caractéristiques physiques et demande qui lui ressemble. Sur la page de droite se situent quatre volets proposition, simplement de par l'image. Exemple, le volet "plumes" : on l'ouvre, on découvre le dessin d'un pigeon et son nom écrit alors que sur le verso du volet on peut lire "J'ai des plumes, pas de poils." La double page suivante illustre et explique la réponse qui était la bonne.

L'illustration est telle que promise par la couverture et je suis absolument certaine du succès que remportera ce livre dès qu'il sera en rayon...

Public : à partir de deux ans.

Si vous voulez vous rendre sur le site de l'auteure, Nicola Davies, vous pouvez suivre cette adresse :

http://www.nicola-davies.com/nicola-davies.com/Welcome.html

Quand la guerre s'invite à votre table, toute votre vie est bouleversée.



Nicola Davies signe ici un très bel album, aussi bien visuellement qu'au niveau du texte. L'immigration, l'émigration, l'éducation des enfants, l'isolement, la peur, la bienveillance, le rejet, sont autant de sujets abordés. C'est d'une grande profondeur.

Un premier documentaire pour découvrir le monde merveilleux des microbes dès 6 ans.

Les illustrations, plutôt jolies, oscillent entre le moderne et le rétro. Les informations sur la diversité des microbes et de leurs actions sont clairement et simplement données. Bon, parfois le vocabulaire est un peu précis : "éroder des montagnes" sans explication, pas sûre que cela parle à beaucoup d'enfants. Mais c'est aussi l'occasion pour l'adulte d'échanger, de transmettre un peu de son savoir à lui.

Un très bel album pour évoquer le monde fascinant des microbes avec les enfants. Le texte est à la fois informatif et assez poétique, les illustrations font penser à celles qui ornaient les anciens livres pour enfants, j'aime beaucoup.

A partir de 5/6 ans.

"Moi, Nanouk, ours polaire " est clairement un documentaire animalier même si sa présentation tendra plutôt vers l'album de fiction.

C'est un parti pris des auteurs, on le devinera en lisant pour permettre une meilleure accroche.

Nanouk n'est pas seulement un animal sauvage, c'est un compagnon d'aventure.



Pas de planches de présentation avec des encarts d'explication, comme avec un documentaire jeunesse classique à valeur scientifique, c'est l'ours qui se racontera aux jeunes lecteurs et les invitera à le suivre dans son environnement glacial et blanc.

Qu'il est énorme !



On apprendra pleins de choses, "Nanouk" (ours blanc en inuit) nous expliquera tout en arpentant les dunes de neige pourquoi il a des oreilles courtes, comment il nage si bien, comment il fait sa toilette grâce à la neige et nous aurons même la question indiscrète de son poids évoquée.

Nanouk n'est pas gros, il est lourd, très lourd.

Plus fort, de dix hommes, qu'un tigre ?

Quelle est la couleur de sa peau, entre le pelage blanc et sa couche de graisse ?

Noire. Le saviez-vous ?

L'ours blanc a t-il véritablement une couleur de poils?

Vous seriez surpris de la réponse.

Les jeunes lecteurs devraient être aussi assez impressionnés par la grosseur de ses pattes mentionnée.



Un ours blanc, ça mange quoi?

Nous saurons.

Il aura l'air aussi doux que redoutable ce Nanouk.

Le style graphique de Gary Blythe en peinture sur toile se prêtera bien à un style pour enfants plutôt que de nous proposer un travail plus lisse et réaliste.

On aime bien, ce Nanouk.

Un album qui parle de la violence de la guerre, de l'exil, de l'accueil du réfugié à travers les yeux d'une petite fille qui a tout perdu et qui va chercher à se reconstruire une vie d'enfant. Et à cet âge tout commence par l'école.

Un bel album qui nous plonge dans l’univers fascinant des microbes. Dans ce documentaire l’essentiel ets expliqué de façon simple, vivante et imagées par une scientifique qui met merveilleusement son savoir à hauteur d’enfant ( Nicola Davies est diplômée de zoologie et a animé une émission de sciences pour la BBC).



Savez-vous que les microbes font plus de bien que de mal ? Qu’il y en a davantage sur notre corps que d’habitants sur terre ? Qu’ils peuvent être aussi différents que la fourmi et la baleine ? Voici un sujet complexe et fascinant pour les enfants, très peu traité en littérature de jeunesse et développé le temps d’un album. L’auteur s’adresse directement au jeune lecteur et lui propose des analogies parlantes et imagées pour faire comprendre l’infiniment petit, la multitude des microbes qui nous entourent, leur rapidité à se reproduire, leur mauvaise réputation qui n’est pas forcément fondée… Les images d’Emily Sutton, au charme délicieusement rétro et empreintes d’art naïf, illustrent sans didactisme le propos où se succèdent des tableaux colorés allant de l’infiniment petit à l’infiniment grand.



Un très bel album, j’ai aimé les pages épaisses et légèrement jaunies lui donnant des airs de grimoires de sciences, un langage très adapté aux petits dès 5 ans et des tas d’images et de comparaisons pour aider l’enfant à appréhender cette notion scientifique. Loin de créer l’angoisse des méchants microbes, cet ouvrage nous montre que certains sont aussi dangereux que d’autres nécessaires et fort utiles. Une belle façon d’expliquer aux enfants pourquoi les parents sont si insistants quand ils demandent de se laver les mains avant le repas ! ;-)


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C’est un livre à la fois beau et défendant une belle cause que nous offre cet album jeunesse.



Cette histoire, à raconter à partir de 3 ans, nous fait parcourir le monde entier le temps d’une journée: Asie, Afrique, Amérique,… nous découvrons des parcs naturels, des forêts, des océans et des paysages polaires. Nous rencontrons également de nombreux animaux dans leur habitat.



Chaque page nous parle de la terre, de comment la préserver et surtout penser au bien-être de chacun.



Un poil moralisateur, j’ai quand même adoré les illustrations que j’ai trouvé magnifique.

À l’occasion de la journée de la Terre, une petite fille nous emmène pour un grand voyage de 24 heures autour de la planète. On y rencontre :

- de majestueuses baleines à bosse aux abords d’Hawaï, espèce de plus en plus nombreuse car dorénavant protégée,

- une famille de magnifiques ours polaires du cercle arctique, dont l’avenir est incertain à cause du réchauffement climatique,

- d’imposants éléphants de Zambie protégés des braconniers par des gardes forestiers,

- des kangourous menacés par les feux de brousse et l’assèchement de leur point d’eau,

- ou encore des centaines d’adorables bébés tortues qui, à peine nées, se dirigent vers la mer, sous la protection de gardiens.



Notre planète Terre est aussi magnifique que fragile. Révéler sa beauté c’est également sensibiliser, dès le plus jeune âge, à la préservation de l’environnement. « Et je dirai aux endormis de se RÉVEILLER parce que demain est déjà là. »



Un album engagé passionnant aux magnifiques illustrations de Jenni Desmond pour célébrer notre belle planète et ses merveilles. Chaque geste compte et la prise de conscience a déjà commencé.



En fin d’ouvrage, on retrouve une partie informative sur ce qu’est le changement climatique et comment agir, en consommant moins d’énergie et en évitant le gaspillage.
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Un livre que j'ai lu comme une histoire à mes enfants même si l'ouvrage se rapproche plus d'un livre de découverte. En tout cas le livre s'y prête bien.

Les infos sont plutôt intéressantes et abordables pour les petits malgré un sujet difficile, le monde de l'infiniment petit.

J'ai trouvé dommage de parler de "microbes" qui est un terme générique et, au niveau des explications que l'auteur donne, le mot "bactéries" aurait été plus judicieux.

Les dessins manquent d'énergie, les personnages restent très figés, mais pour les illustrations de microbes, ils accompagnent bien le discours de l'auteur.

Bref, un livre intéressant pour aborder le monde microscopique avec les petits même si cela reste encore très obscur pour eux.

« Et je dirai aux endormis de se RÉVEILLER parce que demain est déjà là. »

Aujourd’hui, vendredi 22 avril, parait ce bel album documentaire à l’occasion de la Journée mondiale de la Terre. Une belle opportunité de sensibiliser les plus jeunes à l'écologie et à l'environnement à travers ce merveilleux tour de la planète via ses 24 fuseaux horaires.

Nous sommes le 21 avril, il est 23h59 et une petite londonienne s’interroge sur ce qu’il se passe sur la terre à cet instant précis. Et c’est parti pour un fabuleux tour de la planète a travers ses fuseaux horaires !

Il est 01h00 en Artique et tandis que le soleil ne se couchera pas avant septembre, une maman ourse est partie chasser le phoque pour nourrir ses petits. Mais la glace fond chaque année de plus en plus tôt, rendant la chasse difficile…

Il est 16h au Parc national des Pinnacles en Californie, véritable oasis de nectar et de pollens pour les insectes, alors qu’un peu partout ailleurs les congénères de ces derniers disparaissent à cause des produits chimiques.

Il est 22h sur l'île Bird en Géorgie du Sud et un bébé albatros attend le retour de ses parents pour être nourri. Pourvu qu’ils ne rapportent pas des bouchons de bouteilles en plastiques…

Nous sommes le 22 avril, journée mondiale de la Terre, et toi, tu comptes quoi faire ?

Ainsi, grâce à la curiosité d’une petite fille, le jeune lecteur est invité à un tour du monde passionnant, - à travers de superbes doubles pages pleines de générosité - riche en découvertes et questionnement. Car au-delà des petites scènes contées qui pourraient paraître anecdotiques mais ne le sont pas, l’accent est mis sur la volonté de sensibiliser les plus jeunes à leur environnement et à sa préservation, de véhiculer et instaurer des actions de lutte en faveur de la préservation de la Terre et à la sensibilisation de ses habitants, tous âges confondus.

Un bel album riche en découvertes, passionnant, et parce qu’il est traité a travers des yeux d’enfant, en devient émouvant et généreux. Qu’il est judicieux de le faire paraître ce jour et quel bel hommage à notre planète Terre !

Avec ce genre d’albums, vous oublierez tous vos aprioris sur la littérature destinée aux tout-petits car l’autrice aborde ici un sujet difficile, sans langue de bois, choisissant l’option de la franchise plutôt que celle des métaphores tout en conservant une pudeur superbe face à l’indicible. Pourtant, l’album est parfaitement bien pensé pour les enfants en donnant notamment la parole à une toute jeune enfant qui traverse les épreuves avec son regard plein d’innocence, une enfant auquel les lectrices/lecteurs vont forcément s’identifier grâce au début de l’album. L’autrice parvient en effet à faire comprendre, à celles et ceux qui ne la vivent pas, toute l’horreur de la guerre et les bouleversements qu’elle engendre en nous plaçant d’abord dans un quotidien très ordinaire, fait de famille, d’école, de chants et de dessins. Puis tout [...]



Pour lire la suite de cette critique, rendez-vous sur yuyine.be!
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Ce livre répond à plus de questions que vous auriez pu en imaginer sur les microbes. Et c'est donc une super source d'information pour les enfants. Mais il pourra tout autant intéresser les lecteurs adultes !



Cet album est vraiment très complet, et surtout, le texte de Nicola Davies est écrit avec subtilité et est parfaitement adapté aux enfants. On ne se perd pas dans des grands mots ou de grandes phrases compliqués. Il y a juste ce qu'il faut de vocabulaire spécifique, et bien sûr, quelques noms de microbes à découvrir ou redécouvrir, pour avoir tout de même quelques exemples concrets. Les informations arrivent progressivement, et dans un ordre logique : d'abord la taille, puis l'endroit, puis la forme, puis l'utilité, etc.



Les illustrations d'Emily Sutton accompagnent et illustrent parfaitement les explications de l'auteur. On a beau être sur un livre avec une fonction d'apprentissage, les illustrations restent aussi jolies que s'il s'agissait d'un album "normal", avec un style un peu classique/rétro qui change pour ce type de livre au sujet en lien avec la Science.



Un livre intéressant et intelligent, à mettre dans les mains des petits curieux.
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Un album sous forme de documentaire sur un sujet traiter rarement de cette façon

Microbscopique est un album jeunesse (des éditions des éléphants) adapté aux enfants dès 5 ans pour leur apprendre le mini monde des microbes et leur apprendre à ne pas en avoir peur. Hé oui, si il y a de vilains microbes, ils nous servent aussi et font bien plus de bien que de mal.

Avec des mots très simples, l'auteur explique aux enfants l'importance des microbes pour la santé et la nature.



Les microbes sont un sun sujet très peu traités dans la littérature jeunesse et là, c'est fait très justement, avec des illustrations explicites et réalistes.



A mettre entre les mains de tous les jeunes lectures pour leur apprendre à ne pas diaboliser les microbes qui nous entourent ;-)
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La vie est partout, même là où on ne s’attend pas à la trouver, dans l’infiniment petit ou dans des lieux improbables, il faut être fin observateur. Tous les êtres vivants sont liés, dans un équilibre à la fois beau et fragile, qu’il convient de préserver.



De nouveau, les illustrations sont superbes et les couleurs chatoyantes rendent cet album très attractif. Les illustrations en pleine page fourmillent tellement de détails qu’il est possible d’improviser un cherche et trouve pour en saisir toute l’ampleur. Le message est beau, malheureusement oui, l’homme détruit presque tout sur son passage et la biodiversité est une richesse dont on ne peut se passer et qu'il faut préserver !
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Un magnifique documentaire pour découvrir le monde invisible et fascinant des microbes ! D’ailleurs je ne peux m’empêcher de penser à la description de Marcel Pagnol « Et les microbes, il faut s’en méfier ! Qu’est-ce que c’est ? C’est des espèces de poux, mais si petits que tu ne peux pas les voir. Et alors, si je ne me savonne pas tous les jours, ils vont me grignoter petit à petit (...) »



Et oui, les microbes sont partout, une goutte d’eau peut en contenir des millions, une petite cuillère des milliards. Il y en a davantage sur notre corps que d’habitants sur terre. Mais contrairement à leur réputation, la plupart sont essentiels à la vie sur Terre. Ils nous aident à rester en bonne santé en transformant tout ce qu’ils absorbent. Grâce à leur démultiplication ultra-rapide, ils sont capables d’accomplir des choses fascinantes.



Les illustrations d’Emily Sutton sont superbes mais cette fois-ci, le sujet se prête, peut-être, moins à des illustrations en pleine page fourmillant de détails. Je me suis donc laissée emporter par le message qui ravira nos tout-petits : « Les plus petits êtres accomplissent les plus grandes choses » . Le sujet est toujours aussi bien mené avec délicatesse et pédagogie.
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S’il y a bien une parution que je ne rate sous aucun prétexte chez Les éditions des éléphants c’est bien le fabuleux ouvrage du célèbre duo Nicola Davies et Emily Sutton ! J'ai déjà chroniqué l’ensemble de leurs livres :

- MICROBSCOPIQUE Le minimonde des microbes

- TOUS La Biodiversité sur Terre

- GRANDIR Les secrets de notre ADN

- La saison des GIRAFES

À chaque fois, c’est un émerveillement de couleurs et un documentaire fascinant !



Printemps oblige, la couleur verte renaît et on nous explique ici pourquoi c’est si important ! On y aborde la photosynthèse, ce processus absolument génial qui nous permet de respirer grâce à l’oxygène que nous fournissent les arbres.



Mais il n’en a pas toujours été ainsi, aux origines de la Terre, l’air était toxique et c’est grâce aux microbes des fonds des mers que notre environnement a évolué. Aujourd’hui, on s’aperçoit à quel point, notre écosystème est fragile et combien il est important de le préserver !



Les illustrations sont sublimes et foisonnent de détails, ce qui rend l’ouvrage captivant. Tout ce vert et ses dégradés sont éblouissants, que c’est beau !!



C’est un sublime documentaire, captivant par sa richesse et passionnant grâce à son côté pédagogue très abordable. Il célèbre à merveille, la beauté de notre belle planète et rappelle que nous devons en prendre soin, pour nous assurer un futur. Un album engagé en cette journée de la Terre !
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Je suis une grande amatrice des illustrations d’Emily Sutton, le mélange des textures : crayons, peintures, tampons encreurs, les couleurs, les expressions des yeux, ce petit côté tendre et joyeux. Le duo formé avec Nicola Davies est formidable et chaque album me réjouit !



Cette histoire est inspirée d’une histoire vraie, celle de Kisilu Musya, un fermier et cinéaste qui a milité pour le climat. Il raconte les effets du changement climatique en Afrique, pour que l’on réagisse et que l’on change nos comportements !



La saison des pluies rime avec celle des girafes qui réapparaissent comme par enchantement. En se nourrissant des plus hautes feuilles des arbres, elles favorisent la propagation des pollens, des graines et le reboisement.



Mais avec l’expansion des villes et villages sur la nature, la déforestation et le réchauffement climatique, les girafes ont disparu des 7 pays où elles vivaient et la terre est devenue moins fertile…



Heureusement au Niger, les hommes ont protégé leur environnement et les girafes sont revenues !



Un album engagé et positif, il n’en fallait pas plus pour me séduire ! J’ai été très touchée par cette histoire vraie, ma fille de 4 ans a également été émue par leur disparition. J’imagine l’émerveillement des enfants de voir ces girafes évoluer dans leur village et pouvoir assister à la naissance d’un girafon ou remarquer la grâce avec laquelle elles se déplacent ! Ce devait être merveilleux !!



Ce magnifique album rappelle l’impact des girafes sur la biodiversité ! Leur disparition a été évitée de peu, il est urgent d’en parler, d’être informé pour mieux agir.



Les illustrations sont magnifiques et nous emportent immédiatement en Afrique ! Les couleurs foisonnent, il y a de nombreux détails à observer, quel régal pour les yeux ! Une pépite !
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