Les bêtes sauvages sont bien la dernière de mes craintes. Je n'ai à leur opposer qu'une seule croyance demi-savante érigée en dogme et que j'applique en guise de défense : l'odeur des hommes fait fuir les animaux sauvages. Tout réside dans ce postulat. Il ne me reste plus qu'à conserver une odeur humaine.