Aussi la frontière entre étrangers réguliers et irréguliers ne séparent pas deux types d’étrangers, deux logiques de séjour foncièrement distinctes ; elle est plutôt un rappel à l’ordre de la précarité, pour les irréguliers bien sûr, mais aussi pour les réguliers. Dans le bâtiment, cette proximité des situations se traduit par le fait que les étrangers aux titres de séjour temporaires et des sans-papiers occupent des emplois et qualifications similaires.