carnet intouchable, mots qu’on amasse de tête, moments derrière, aussi petite complaisance à l’incomplétude, à l’inefficace, à la relégation. une à deux semaines. temps qui s’abat comme un lourd sommeil au sortir duquel on est sans pensée, écumeux, sans repères, mais bientôt on retape son crâne des morceaux du monde où on va pouvoir se mouvoir, on ouvre les volets de nos sens, on respire les sons,