Combien de fois l'ai-je martelé: " Le droit de mourir ne fait pas mourir. Au contraire !"
Pour ceux qui voudraient partir, la certitude qu'ils pourront le faire, librement, légalement, sans violence, le jour où ils l'auront décidé, cette pensée, oui, les apaiserait tant que, pour la plupart, ils renonceraient à se donner la mort. Ce n'est pas de mourir que les Français ont peur, mais de mal mourir. (p. 113-114)