L'utilisation des matières premières locales devint pour le brasseur le fer de lance d'un entrepreneuriat local.(p.80)
Bien que la majorité des travailleurs de Heineken en Afrique ne cotise pas pour leur retraite, ils ont souvent droit à la fin de leur carrière à une solide prime de départ, ce qui permet à plus d'un retraité encore vaillant de créer sa propre entreprise. (p.152)
Les travailleurs séropositifs de Heineken en Afrique et leurs familles directes se virent offrir un traitement à vie, qui se poursuivait même après leur retraite ou leur licenciement forcé.
(p. 157)