C’est pourquoi les ouvriers allemands, dès qu’ils se rendent clairement compte de leur intérêt, doivent souhaiter que les besoins culturels et linguistiques de toutes les autres nations soient satisfaits. Et ce qui est valable pour les ouvriers allemands l’est aussi pour les prolétaires des autres nations. Il en résulte que les ouvriers de toutes les nations réclament une réglementation des affaires nationales qui garantisse à chaque nation la possibilité d’un épanouissement culturel continu, et aux ouvriers de toutes les nations, la participation à la culture nationale