J’en avais assez qu’elle se moque de moi. Je ne voulais pas qu’on dise du mal de mes poètes ; je n’étais pas capable de les imiter, d’accord, mais gare si on s’en prenait à eux. Les lire, c’était aérer mon âme. (p. 160)
Susanna portait des mini-jupes moulantes et des chaussures à talons hauts, sur lesquelles elle se dandinait comme un héron sur la grève caillouteuse d’une rivière : toujours à deux doigts de tomber à l’eau. (p. 118)