Patricia Rosemoor

Un enfant à protéger :





"Il y avait chez cet homme une impassibilité qui lui mettait les nerfs à vif. Toute son attention était concentrée sur elle, avec une intensité presque insoutenable."





Un décès, une drôle de sensation, un don très spécial, une rafale de balles, la morsure du vent, des grimaces, une impression de déjà-vu, du désespoir, des sueurs froides, un magasin de jouets, un sentiment d'impuissance, de la colère, un regard bienveillant, des illustrations, de l'instinct, une voix hésitante, de l'incrédulité, de la fébrilité, de la confiance, de la fascination... 





Meghan n'a qu'un objectif, celui de protéger son neveu Dany. Elle veut lui donner aussi la stabilité dont elle a manqué pendant son enfance.





Elle va même jusqu'à donner un faux nom et une fausse adresse à Gabe, un policier au physique ténébreux.





Dangereuse attirance :





"Elle ne tenait pas à perdre son job, qui était devenu tout pour elle. Néanmoins, si elle devait choisir entre son métier et la vie de Dermot O'Rourke..."





Un centre de réinsertion, un ordinateur portable, la division criminelle de Chicago, un ancien quartier, un chantage, du trouble, des retrouvailles, un air sarcastique, un film d'horreur, un grand service, un inhabituel silence, de l'assurance, un cordon de velours, une équipe souterraine, un message crypté, une raison de vivre, le bleu pâle des murs, de l'énergie, de l'attraction...





Dermot ex-prêtre et psychothérapeute, et Stella inspectrice ont plus de choses en commun que l'enquête en cours.



Elle le connaît depuis longtemps, il a été là à un moment où elle avait besoin d'aide, maintenant c'est son tour de l'aider.





J'ai bien aimé ces deux romances policières, qui datent du début des années 2000.

Ce 9e roman de la série « The McKenna Legacy » commence par une lettre datée du 22 juin 1919, dans laquelle Sheelin O’Keefe, une sorcière irlandaise, lance une malédiction sur Donal McKenna et tous ses descendants. L’intrigue qui suit tient le lecteur en alerte du début à la fin.