« Les manifestations se succédèrent tous les vendredis, rassemblant de semaine en semaine un nombre croissant de jeunes, mais aussi les parents. Tous les samedis avaient lieu les obsèques de ceux qui étaient tombés sus les balles des forces de l’ordre. Le régime restait sourd. Pire, il promettait de lâcher du lest à l’écran, pour satisfaire les observateurs internationaux, et réprimait plus sauvagement dans les rues. »
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