Ces sanatoriums permettent d'isoler les patients et de favoriser la guérison, grâce au repos et à un meilleur régime. Si ces établissements ont peut être contribué au déclin de la phtisie [tuberculose] à la fin du XIXe siècle, il fait peu de doute que l'amélioration des conditions sanitaires et sociales des populations est la cause principale de la baisse de l'incidence de la tuberculose, déclin qui précéda nettement la vaccination par le BCG et l'utilisation des antibiotiques.