Sans tomber dans le travers d'un gouvernement attentif à une opinion publique consciente de son influence, sans parler de dialogue permanent, force est de constater que les provinciaux pouvaient émettre des avis et les faire remonter jusqu'aux autorités compétentes dans des domaines aussi sensibles que la fiscalité et la justice. L'absence de politique avérée d'assimilation à tout prix des conquis de la part des vainqueurs ne disqualifie pas la notion de "romanisation". (p 96)