Il savait ce qu’il en coûte pour rester saint d’esprit, pour se calmer, pour trouver un équilibre de conduite, mais il adorait les extrêmes, ayant connu le soulagement presque sanguinaire de qui laisse libre cours à ses lubies, sous forme de cri de guerre, de danse macabre ou de cri primal, brûlant une énergie qui ne trouvait nulle autre échappatoire et certes pas dans les formules ressassées ou les lieux communs de la décence convenue.