Elle lui expliqua, d'un air grave et tendu, que toutes les muses tuent ; que l'art, s'il permet d'échapper à la folie, assujettit l'artiste aux mécanismes de la fatalité. Bien écrire, dit-elle, c'est inviter la mort à se déchaîner ; c'est défier toutes les forces déployées contre l'âme humaine. (page 111)