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Critiques de Paulus Hochgatterer (14)
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La douceur de la vie

Les ingrédients por un bon polar me semblaient réunis, un meurtre sordide dans un village noyé sous la neige, un policier plutôt banal, entendre par là sans réels problèmes, un psychiatre qui se pose plus de questions qu’il n’a de réponses même dans son domaine et des personnages secondaires qui étouffent l’histoire.

Mais, non, je n'ai pas accroché, je suis passée à côté du livre pourtant couronné et ayant reçu des critiques dithyrambiques.

En survolant les dernières pages, j’ai même failli ne pas connaître l’identité du tueur.
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La douceur de la vie

Le roman s’ouvre classiquement sur le crime odieux d’un vieil homme à qui son meurtrier a quasiment supprimé le visage avec une rage et une haine rares. Près du corps sa petite fille Catherine une enfant de six ou sept ans que la découverte a rendu mutique et qui garde enfermés dans sa main, deux petits objets comme si sa vie en dépendait.

Nous sommes à Furth en Basse Autriche une petite ville comme les autres avec son lac, son hôpital et son église, une ville figée, repliée sur elle-même.



Le commissaire Louis Kovacs est chargé de l’enquête, privé de son témoin oculaire il fait appel à Raffael Horn le psychiatre local qui va tenter sortir Catherine de sa sidération.

Le récit va osciller sur un rythme lancinant de métronome entre ces deux hommes et le prêtre de la petite communauté.

Récit polyphonique sur fond de préparatifs de Noël et d’odeur d’encens.

Nous sommes invités à déplacer notre regard et à observer les différents personnages sous plusieurs angles, l’invitation est faite avec une grande subtilité et joue sur nos nerfs de façon extrêmement efficace.

Le flic cherche des indices, interroge, le psy explore la fragilité et les zones d’ombre des hommes. Tous les personnages secondaires ont de l’épaisseur et l'auteur prend le temps de nous les présenter, de nous faire entrer dans leur intimité, de nous dire ce qu’ils aiment, ce qui les inquiète, ils ont eux aussi leur mot à dire.



Je suis très discrète sur l’intrigue que je vous laisse découvrir.

Ce livre est une étude sociale autant qu’un polar, le récit est construit très intelligemment, il fait par petites touches monter un sentiment d’inquiétude. Un critique allemand le compare à « des chocolats empoisonnés ». Un portrait en profondeur et sans concession de la société autrichienne qui nous dit qu’il ne faut pas se fier au charme des paysages de montagne.


Lien : http://asautsetagambades.hau..
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La douceur de la vie

Malgré la Sachertorte sucrée et fondante, malgré le velouté du chocolat chaud, malgré la beauté de ses lacs et villages enneigés en hiver, l’Autriche a visiblement un problème avec la douceur de la vie.



Lors d’une soirée paisible entre Noël et la Saint-Sylvestre dans une ville moyenne autrichienne typique, une petite fille de cinq ans joue avec son grand-père. Celui-ci doit sortir soudainement avec un visiteur. Il ne reviendra jamais. L’enfant sort pour le chercher et découvre son corps sans vie dans la neige, le visage mutilé.



Traumatisée, elle se mure dans le silence. En enquêtant sur ce décès et en tentant de soigner cet enfant, le commissaire Ludwig Kovacs et le pédopsychiatre Raffael Horn ouvrent une boîte de Pandore au contenu peu ragoûtant, et nous dévoilent ce que recouvre cette vie en apparence si paisible et bourgeoise de la petite ville de Furth.



Sous la forme d’un thriller très habile aux multiples narrateurs, Paulus Hochgatterer, qui exerce aussi le métier de pédopsychiatre, nous immerge dans une Autriche sombre et cruelle, soumise à l’appauvrissement, à la violence, à la haine des immigrés, et il nous montre comment les enfants réagissent à cette violence, en s’emmurant dans le silence comme par la petite Katharina, en se servant de la cruauté comme rempart ou tout simplement en l’imitant.



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La douceur de la vie

Dans la petite ville autrichienne de Furth, une nuit d’hiver, Sebastien Wilfert, un vieil homme de 86 ans, a le visage broyé, littéralement effacé. Katharina, sa petite-fille qui a découvert le cadavre, se mure alors dans le silence.



Qu’a-t-elle vu ? Pareil meurtre, Ludwig Kovacs, commissaire plutôt nonchalant, n’aime pas ça, d’autant qu’en cette fin d’année les faits divers tordus s’accumulent. Furth « la paisible » cache-t-elle l’horreur au quotidien ? Raffael Horn, un pédo-psychiatre qui doit sortir l’enfant de son enfermement, a au moins une conviction : la vie finit toujours mal….



La Douceur de la Vie se vend comme un polar et ça n’est pas tout à fait juste. C’est un roman polymorphe qui explorer un panel assez large du genre policier et emprunte également à la fresque sociale. C’est un roman acide, dont il faut saluer la justesse du titre.



Le récit alterne le voix du commissaire et du psychiatre. Le premier, un bougon plus nonchalant que désabusé, le second, un esthète amoureux mais non moins fataliste.



D’autres personnages prendront également la parole dans ce roman, le rendant parfois peu lisible. La Douceur de la Vie, c’est plus un genre et un style qu’une histoire à proprement parler. C’est un roman feutré, étonnamment réel parce qu’il a de cru. Paulus Hochgatterer est un peintre au couteau. Le style semble naïf, il n’en n’est que mieux maitrisé.



La Douceur de la Vie est l’archétype de ces romans que l’on aime et dont on ne pourra pas se défaire ou dans lequel on aura du mal à se plonger. Et c’est précisément ce qui en fait un roman aux qualités indéniables dont on recommande la lecture.
Lien : http://madamedub.com/WordPre..
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La douceur de la vie

Thriller policier autrichien très réussi, habilement écrit, vertigineux quant à ses implications psychologiques.



Publié en 2006, couronné par le Grand prix de littérature policière allemande en 2007 puis par le Prix de Littérature de l'Union Européenne en 2009, ce polar autrichien nous est offert en français en ce début 2012 par Quidam Éditeur.



Noël et le Nouvel An dans un village autrichien, sous la neige. Une fillette découvre le corps défiguré de son grand-père assassiné, et en est traumatisée... Loin d'une apparente n-ième histoire de serial killer, Hochgatterer nous propose une angoissante lecture à deux voix principales de l'enquête à mener, celles de l'inspecteur de la Criminelle, un rien désabusé, et du psychiatre de l'hôpital local...



Formellement habile, avec ses sept narrateurs, dont certains difficiles à identifier de prime abord, cette enquête hors du commun nous plonge dans une Autriche qui se recroqueville toujours davantage sur sa peur, sur ses crispations identitaires et sur son potentiel de haine, tandis qu'essaient d'y surnager de leur mieux les témoins ahuris de cette glissade aux enfers... Et sous nos yeux incrédules, et ceux - un rien plus blasés - du psychiatre, nous réalisons que tous, presque sans exception, sommes devenus des sujets de psychiatrie, plus ou moins bénins, plus ou moins psychopathes, sous la terrible pression sociale et économique désormais en vigueur...



Au-delà du thriller réussi, un moment authentique de vertige social et politique, alors que tombent gentiment les flocons de la Saint-Sylvestre...

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Brève histoire de pêche à la mouche

"Lorsque nous nous retrouvons, nous ne savons rien de ce qui va se passer ce jour-là, ni de l’histoire du World Trade Center ni du fait que Julian tombera dans un buisson d’herbe du diable, puis dans la rivière. Le temps n’est pas celui que nous avons imaginé, ça, nous le savons."



Trois psychologues partent un matin pour une partie de pêche à la mouche, une journée presque ordinaire mais qui s’annonce d’emblée comme très particulière.



"Brève histoire de la pêche à la mouche" est un livre tout en tension sur le continuum entre fantasme et réalité, et sur la pathologie de l’ordinaire (apparemment particulièrement aigue chez les psychologues !).

Les phrases, les pensées - à moins que ce ne soient les actes -, comme des lancers de mouches, créent des dissensions accumulées sur la pratique de la pêche, la musique ou les femmes, et viennent se ficher comme des pointes dans chaque angle de la discussion.



Tout le charme déviant de l’Autriche dans un cadre naturel inspiré de la littérature américaine.



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Brève histoire de pêche à la mouche

Week-end de pêche en Autriche, suspense insoutenable. Dans l'imagination du lecteur uniquement ?



De même qu'il m'avait enchanté par sa remarquable subversion du "thriller à serial killer" que constituait son enneigé "La douceur de la vie" de 2007 (publié en français chez Quidam en 2011), le romancier-psychiatre autrichien Paulus Hochgatterer prouve avec ce bref roman (110 pages) de 2003 (publié en français, déjà par Quidam, en 2010) qu'il excelle aussi à jouer avec les codes du "nature writing" et du suspense potentiellement horrifique.



Le week-end de pêche à la mouche de ces trois psychiatres autrichiens se transforme sous sa plume en une expérience insolite, où le soin apporté par chacun, les deux pêcheurs confirmés comme le néophyte désireux d'être à la hauteur, au choix de la "mouche" adaptée au moment et à la situation, les considérations sur tel ou tel poisson, les dialogues évidemment pétris de possibles "mauvaises" interprétations, et certains monologues in petto pour le moins troublants, se lient et s'assemblent pour engendrer une atmosphère lourde et inquiétante, qui fait songer aux premières minutes du "Délivrance" de John Borrman, et qui ne nous quitte pas jusqu'au bout de ces pages : des choses terribles peuvent se passer, vont se passer, ou peut-être se sont déjà passées...



Une belle réussite.

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Brève histoire de pêche à la mouche

Un matin de septembre, qui pour d'autres raisons, restera dans l'Histoire, trois amis partent ensemble pour une partie de pêche. Julius, l'Irlandais et le narrateur sont psychiatres ou psychologues et se connaissent depuis longtemps. Sur l'autoroute, en chemin, ils s'arrêtent pour le petit déjeuner et font connaissance de la serveuse, jolie jeune femme qu'ils persuadent de les accompagner. Puis ils poursuivent leur route vers leur destination, où commence la partie de pêche.



Si je vous dis munro killer, red butcher, egg-sucking leech, ça vous dis quelque chose ? Et bien, ce sont des mouches à hameçons doubles ou triples, des monstres.que même l’Irlandais n’a jamais utilisés. Lors de son voyage en Norvège, il s’est contenté de mouches plus classiques comme les grey fox ou rusty rat, parfaites pour ferrer le saumon Quand au narrateur, il préfère une Highland dun ou des culs-de-canard, ou alors une nymphe scud, en dernier recours.



C'est une journée particulière qui nous est contée ici et qui alterne les réflexions du narrateur sur sa vie personnelle, ses amitiés, ses relations professionnelles, ses fantasmes avec la description bucolique d’une journée de pêche dans une campagne sauvage et éloignée, entrecoupée de quelques leçons de pêche à la mouche qui donnent un aperçu de cette activité très technique.

Un très bon moment de lecture !
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Brève histoire de pêche à la mouche

Quand des "psy" partent pêcher, que se racontent-ils ? des histoires de psy, de pêche et de femmes...

Pour plus d'infos, rendez-vous sur mon blog !
Lien : http://www.armande22.com/art..
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Brève histoire de pêche à la mouche

Paulus HOCHGATTER – Brève histoire de pêche à la mouche

Assez étonnant. L’histoire grosso modo : 3 psys fanfarons partent pour une partie de pêche à la mouche dans les montagnes.

Livre plutôt savoureux, érudit, singulier par le ton de l’histoire qui porte bien son nom, sans autre fil conducteur< ; délires de 3 personnages qui œuvrent sur la santé mentale et qui vivent aux frontières de l’esprit.

Leurs joutes amicales sont délicieuses et parfois culottées, ils se titillent la réalité, se provoquent en duels psychanalytiques, ne se prennent absolument pas au sérieux, s’amusent de leurs travers mutuels et leur petite aventure dans la nature se délecte des moments fantasmés.

Une écriture assez enlevée et pleine d’humour, quasi névrotique mais jubilatoire

Anabelle
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Brève histoire de pêche à la mouche

Trois psychiatres partent ensemble pour une petite partie de pêche à la mouche. Nous sommes au mois de septembre, exactement le 11 de l’année 2001, telle que l’indique la première phrase, très innocemment du moins en apparence…

« Lorsque nous nous retrouvons, nous ne savons rien de ce qui va se passer ce jour-là, ni de l’histoire du World Trade Center ni du fait que Julian tombera dans un buisson d’herbe du diable, puis dans la rivière. Le temps n’est pas celui que nous avions imaginé, ça, nous le savons. »

Il ne fait pas très beau en effet, mais les trois compères en sont plutôt satisfaits, au moins, ils seront au calme…

(......)



La pêche, les hameçons, les mouches, un collègue commun qui a tout du pervers narcissique et qu’ils aimeraient tous tuer, la jolie serveuse, toutes ces pensées virevoltent dans l’esprit de nos pêcheurs du dimanche…. Ils se lorgnent les uns les autres, ce sera à qui débusquera le premier poisson, qui en tirera le plus hors de l’eau… une certaine rivalité s’installe, même s’ils savent tous de toutes façons lequel d'entre eux remportera la mise. L’important finalement n’est pas là. L’important ce sont ces regards croisés, ce qu’ils s’imaginent les uns sur les autres, leurs pensées aussi futiles ou légères que l’air et qui pourtant semble presque prendre vie. Ils s’ébrouent parfois, comme pour rejoindre la réalité, Julian est-il vraiment tombé dans l’eau, ou pire encore ? Les monde rêvés et fantasmés s’entremêlent et se confondent, les pensées les plus noires ou les plus réjouissantes émergent pour se noyer à peine écloses dans l’eau dans la rivière. Etat contemplatif, pas si paisible que cela…

Et tandis que leurs mini drames, fantasmés ou vécus, se déroulent, il y a là-bas, de l’autre côté de l’océan….



Coupés de la « civilisation« , à l’abri pensent-ils du vaste monde, les trois hommes retomberont bientôt sur terre, mais dans un ricanement, un peu blêmes :

« Vous ne croirez jamais ce qui s’est passé, dit-il, vous le croirez pas. ». Lui, le poisson continuera, un peu plus rusé, peut-être, après cette leçon de pêche.



Entre court roman ou longue nouvelle, « Brève histoire de pêche à la mouche » ferre son lecteur dès la première page. Le rythme est lent (n‘attendez pas des rebondissements à n‘en plus finir, mais auriez-vous imaginé le contraire? ), les réparties rapides, vite interrompues, les pensées fugaces, les rêves éveillés et trompeurs...

Décidément, le lancer de mouche est tout un art et berner le poisson aussi…




Lien : http://lily-et-ses-livres.bl..
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Brève histoire de pêche à la mouche

J'ai apprécié l'économie avec laquelle l'auteur fouille l'inconscient masculin, plutôt amusée moi-même de vivre une journée dans le cerveau d'un homme. Ce roman prend la forme du récit d'une "non-histoire" car au fond il ne se passe pas grand chose : trois copains qui sont aussi collègues partent en virée au bord de l'eau pour pêcher des poissons qu'ils vont majoritairement rendre à leur milieu naturel, en nous faisant suivre au passage le vol d'un martin-pêcheur ou le piqué d'un cincle plongeur.

Lire la totalité sur

http://abrideabattue.blogspot.com/2010/04/breve-histoire-de-peche-la-mouche-de.html

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Brève histoire de pêche à la mouche

Après avoir lu et aimé les polars de William G. Tapply avec son pêcheur à la mouche amnésique, on ne pouvait que tomber en arrêt, comme le chien Ralph, devant ce titre évocateur : Brève histoire de pêche à la mouche.

Un titre tout à fait capable d'appâter le pêcheur émérite que je serai dans une vie prochaine.

Mais la comparaison avec les pêches de Stoney Calhoun s'arrête au titre évocateur.

Parce qu'on n'est ni dans le Maine, ni au rayon polars. Du tout.

À dire vrai, il a fallu feuilleter quelques pages dans la librairie pour se convaincre de la justesse et de la précision de l'écriture et contrebalancer l'effroyable "pitch de la quatrième de couv'" :

trois psy prennent la route pour une partie de pêche à la mouche, le réalisme vibrant plonge le lecteur dans les eaux troubles et sombre de l'inconscient et ferre la part d'ombre qui est en chacun de nous (fin de citation).



Une histoire de psy écrite par Paulus Hochgatterer un .. psy autrichien, ben oui, un viennois forcément ! Une sorte de Woody Allen tyrolien. Vite, fuyons.

Non, restons ! Restons ! Car, on l'a dit, quelques pages lues de ci de là ont eu vite fait de nous accrocher (ah, ah).

Au gré des savoureux dialogues entre les trois pêcheurs, une belle écriture fait virevolter les associations d'idées mais sans que le tyrolien ne se prenne trop au sérieux. On évite donc les effets de plume (ah, ah) qui aurait pu agacer le lecteur comme la mouche le poisson.



Il est absolument fascinant de voir ces gars se prendre le chou pour des hameçons en plume : Munro killer, Red butcher, Egg-sucking leech, Streamer, Grey fox, Rusty rat, Sunray, Culs-de-canards, Nymphes scud, Adams, ...

Mais cela confirme deux points :

- la pêche à la mouche est une affaire de mecs

- ce bouquin est un délire masculin cérébral.

L'auteur en convient lui-même.



Outre les rares évocations d'épouses, le seul élément féminin du récit sera la rencontre d'une jeune serveuse sur la route que les trois compères emmèneront "virtuellement" avec eux .

Au plan du fantasme partagé, dirait l'un des psys.



Un livre où l'on découvre quelques trucs en plume ...
Lien : http://bmr-mam.over-blog.com..
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La douceur de la vie

Paulus Hochgatterer - "La douceur de la vie" – Quidam éditeur, 2012 (ISBN 978-2915018721)



NB : rien à voir avec le roman de Jules Romain arborant le même titre.



C’est un roman écrit par un pédopsychologue ou pédopsychiatre, qui est surtout fondé sur de longues anecdotes n’ayant rigoureusement rien à voir avec l’énigme, mais reflétant probablement la vie intérieure de tel ou tel personnage. Il y en a qui apprécient, pour ma part j’avoue piteusement rester totalement imperméable à ce type de narration qui me barbe profondément.

Ceci étant, je l’ai tout de même lu jusqu’au bout par curiosité, en faisant abstraction des nombreuses fautes de typographie, d’orthographe voire d’impression (quelques mots manquent carrément) ainsi que de grandes maladresses de traduction.



Personnellement, je le classe dans la catégorie «ouvrage à recommander aux abonné(-e)s à "Psychologie magazine" ou autres gazettes du même tonneau».

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