Cette insistance à exiger que les semences soient certifiées a un effet pervers, celui de pousser l'agriculteur à choisir un hybride disponible en bio, mais potentiellement génétiquement modifié, au détriment d'une variété ancienne qu'il pourrait obtenir d'un voisin non certifié mais qu'il ne peut semer sans la dérogation du certificateur