Giraud grogne un assentiment assez vague. Il n’a absolument aucune envie d’entrer dans cette chambre dont on a refermé la porte sous prétexte de préserver la scène de crime, ainsi que la dignité de la jeune fille. Il n’a aucune envie d’aller voir ce corps qu’un père déchiré vient de serrer une dernière fois dans ses bras avant d’appeler la police. Ça l’horripile, mais il n’a pas le choix.