Délégué aux organisations privées de l'agroalimentaire plutôt qu'à la collectivité publique, notre ravitaillement échappe au débat politique. L'aménagement peine à s'emparer de cette question de la résilience vivrière alors que l'artificialisation des sols agricoles par les villes compromet l'activité et la mise en place de circuits courts à proximité des villes.