Lorsque Monsieur Philippe mourut le 2 août 1905, Monsieur Chapas continua à recevoir les malades qui venaient toujours nombreux à la salle de la rue Tête-d’Or. Il avait souvent répété à la séance que le « médecin en chef » était présent et Benoît Grandjean et d’autres ont affirmé que l’atmosphère spirituelle était la même.