(...)
La mer me chante sa berceuse primitive,
symphonie rassurante, qui endort l'angoisse,
qui panse les plaies, qui détache du temps,
et vous place au milieu de l'univers.
Elle est là, tout près,
me susurre à l'oreille les mots d'amour
les plus troublants,
roulant sur ses milliards de larmes
sur des rochers stoïques.
(...)