LE SOIR…
Extrait 2
Soudain, une colline, des crêtes et le regard souffle toute méprise.
Tu as bien vu cet arbre de solitude, vrillant le ciel d’aiguilles vertes
qui te cinglent. Tu reviendras là, des mots en poches. Un peu de
chagrin nomade. Au cœur.
Loin, un berger pousse un vent mousseux.
Plus près, la main tremble.