Il savait que bientôt son pétard arrosé au pastis allait déclencher un beau brasier dont il ne resterait pas grand-chose. Ce genre d’empire de type mafieux ne tombait jamais vraiment. À peine décapité, des successeurs aux dents longues se pressaient pour reprendre l’affaire. Mais voir s’affronter ces deux dinosaures du crime, qui depuis plus de quinze ans lui pourrissaient l’air en toute impunité, restait tout de même une grande joie en perspective.