Les jeunes femmes du quartier s’intéressaient à Pierre Silvanès parce qu’il était riche et généreux, et d’ailleurs gai, aimable, bon camarade ; mais elles ne l’aimaient pas, et c’était une opinion bien établie chez elles qu’il avait « l’air faux » et qu’« avec lui il fallait se méfier ».