Un beau plaidoyer pour la lecture et l'enseignement des Grecs et des Latins, pour connaître sa propre langue comme une langue de culture, c'est-à-dire autrement que comme seul moyen d'expression personnelle et de communication.
Une argumentation ouverte sur la dimension historique et critique des langues, contre les visions autoritaires d'un monde semble-t-il moderne et ouvert mais vécu comme un destin dans lequel le passé serait figé ou ne compterait pas.
Pour une pédagogie "permettant d'entendre la vie gronder derrière les connaissances fossilisées" (P. Meirieu).
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