Il fallait vivre. Le lagon regorgeait de poisson. Empoisonné ou non, on en goûterait. S'il se trouvait, dans ces eaux, des poissons vénéneux, on en retirait aussi de comestibles. Les indigènes en mangeaient bien. Ils les voyaient par milliers, par millions. C'étaient des pièces magnifiques, de vrais bijoux d'orfèvrerie, des inventions de lapidaires.