Mais, entourés des constructeurs de bateaux, des potiers, des dérouleurs de bois humides, les Riffault existent toujours, pesant lentement sur la pigouille pour embarquer leurs troupeaux d'un pré à l'autre, jetant leurs filets sur les mêmes prises, glissant dans les silences et dans les perfection lumineuses des mêmes matins calmes, vers les « milles jardins où l'on ne va que par bateau