Hashim Thaçi, entre-temps devenu l'homme fort du Kosovo - agent de la DGSE ou non, - est, comme l'UÇK, un produit des services occidentaux, qui l'ont imposé comme leur principal et unique interlocuteur en marginalisant Ibrahim Rugova, leader pourtant élu par les urnes ( indépendamment ou non des contestations des conditions dans lesquelles s'étaient tenues les élections ).