Et maintenant que les peuplades abâtardies, soutenues par nous, ont disparu, …; que les richesses naturelles en caoutchouc des forêts voisines de la mer sont épuisées ; qu’il faut demander au développement industriel et agricole une prospérité stable pour notre colonie, au lieu de pouvoir à notre tour utiliser la vigueur de cette race, au lieu de pouvoir, grâce à son travail, mettre en valeur la fertilité exubérante du sol, éminemment propre à la culture du café, de la canne à sucre et du cacao, nous nous trouvons en présence de peuplades animées envers nous de sentiments invétérés de haine, d’hostilité et de représailles, qui rendent difficile un rapprochement nécessaire pour la tranquillité et la prospérité de la contrée.