Une anecdote illustre parfaitement me charme discret de l'aristocratie aixoise : un médecin du nom d'Ailhaud fit fortune grâce à l'invention d'une poudre, remède aléatoire qui convenait, parait-il, à tous les maux (une poudre de Perlimpinpin ?) et qui eut le mérite d'exercer une action positive au moins sur son inventeur.