Sur son blog figuraient une liste actualisée d’astuces pour partager des softs piratés ainsi qu’une intéressante collection de pornographie macabre, non qu’il éprouvât des penchants jouissifs pour la guerilla informatique ou pour l’abus systématique de femmes enceintes, mais parce que son esprit, contaminé par les obsessions propres à une insurmontable estime de soi, avait compris que le chemin d’accès à l’empathie contemporaine est pavé de l’usage intelligent et glamoureux de la cruauté.