Il pouvait comprendre qu’on préfère envisager un meurtre plutôt qu’un suicide. Il s’agissait de deux tragédies, mais, dans le premier cas, si les parents pouvaient s’en vouloir de ne pas avoir mieux protégé leur enfant, ils pouvaient toujours considérer que le meurtre était le résultat du hasard. Dans le cas du suicide, tous les proches du défunt se sentaient coupables, que ce soit mérité ou non.