Une sombre odeur de fauve, trop forte pour être civilisée, trop puissante pour être dissimulée. Une odeur si impudique n’appartient qu’à la nuit, à ces moments privés de solitude que personne ne peut partager. J’ai été surprise de la trouver là, dans ce lieu public, accessible à tout le monde. Elle se collait à moi, me montait implacablement aux narines.