La relation, pleine d'humour de Pierre Daninos sur l'adorable fantaisie des rues londoniennes lui vint à la mémoire et le fit sourire un instant :
"D'une façon générale, les numéros ne se suivent pas. Ce serait trop monotone.
D'un côté de la rue, ils vont en montant, de l'autre, en descendant.
Parfois ils s'arrêtent de descendre pour remonter, puis, fatigués, redescendent de nouveau".