--Nous y sommes ,indiqua Jean-Baron.
Clarisse se leva et posa les mains en appui sur le bord du pare-brise de la voiture.La jeune femme dėcouvrait un bâtiment massif ,sans charme,pourvu d'une porte vitrée ,surélevé d'un étage prenant jour par deux fenêtres. Elle descendit du véhicule,dénoua le fichu retenant le foisonnement de ses boucles châtaines et défroissa sa robe à l'aide de larges mouvements de la paume.