Aruke avait alors éprouvé quelque chose d'étrange : il s'était dit que, si la bête avait tué Valko, il en aurait eu du chagrin. Il se demanda d'où lui venait cette émotion inconnue et s'il s'agissait d'un signe avant-coureur de cette faiblesse qui gagnait les mâles avec l'âge : les sentiments.