Monsieur Tôjô : On ne joue pas avec les morts.
Reiko (tenant un chien mort à bout de bras) : Monsieur Tôjô... Vous le voulez comme cobaye ?
Monsieur Tôjô : On dirait que tu ne m'as pas compris. Les morts profanés punissent toujours leur bourreau. Toi en l'occurrence.
Reiko : Monsieur... Vous voulez parler de mon travail ?
Monsieur Tôjô : Tu penses bien qu'un professeur de biologie ne peut pas croire à cela... Tu ne devrais pas profiter de la crédulité des gens.