Nos ennemis principaux sont les orties et les moustiques. Toutes les patrouilles, les anglaises comme les allemandes, sont résolument opposées au principe de la mort glorieuse. Lorsqu’elles se rencontrent dans la luzerne haute et humide qui frémit, elles se comportent comme le lévite face au bon Samaritain et passent leur chemin sans dire un mot.