Je sors de cette lecture à la fois perdu comme Lagagne et enjoué. La transcription à l'écrit de pièces de théâtre très spécifiques (la marionnette géorgienne) n'est pas toujours facile à lire. C'est le cas ici tant au niveau du fond (la Géorgie, la guerre, la Russie, la situation politique, les époques) qu'au niveau de la forme. C'est pourtant celle-ci qui m'a fait ne pas décrocher ces sortes de micro poèmes dramatiques dialogués, rythmés, courts font prendre conscience que le théâtre de marionnette n'est pas nécessairement narratif, didactique, explicite et dédié au jeune public. Par contre, il est évident que sans les codes, on passe à côté. Je garderai un léger sourire en repensant à Ramona, mais je ne crois plus que je lirai ce type d'ouvrages. Néanmoins, voir un de ces spectacles, pourquoi pas...
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3 pièces contenu dans ce numéro de l'Avant-Scène, mais ma critique va être simple : j'ai rien compris, ou presque. Bon, j'aurai dû m'en douter. Déjà qu'on ne saisit bien toute la subtilité d'une pièce de théâtre "classique" qu'en la voyant jouer, alors du théâtre de marionnettes moderne traduit du géorgien et du russe...
Ramona : deux locomotives sont amoureuses mais doivent se séparer. Cela a l'air simple, mais ça ne dure pas. J'ai été complètement perdue par les personnages, par les noms géorgiens, je n'ai pas compris quand ni vraiment où je me trouvais ni se qu'il se passait...
Stalingrad : là encore, j'ai été égarée. Stalingrad, Staline, un général, un soldat, ça va. L'histoire d'amour Aliocha/Natacha, ok. Mais il y a un nombre fou de personnage pour une pièce si petite qui nous balade à Munich, à Berlin, dans un village, un café, avec un ange, des militaires,des jeunes gens...et une fourmi.
Le Diamant du Maréchal de Fantie : au début j'ai cru que cette fois j'allais accrocher et comprendre. Que nenni ! C'est simple, parfois les dialogues n'avaient ni queue ni tête pour moi...
Donc voilà : j'ai rien compris.
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