Zola avait décidé que Cézanne n'avait pas « assez de caractère » et poursuit : « Tu as peur de l'échec, en pensée comme en action ; ton premier principe est de laisser les choses suivre leur cours et de t'abandonner à la merci du temps et du hasard. » Et il terminait par une exhortation : « C'est l'un ou l'autre, sois un véritable juriste, ou sois un véritable artiste, mais ne demeure pas une créature sans nom, portant une toge maculée de peinture ».