Non seulement nous remplissons un devoir envers Dieu en préparant de nouveaux volumes, mais nous obéissons à l'obligation d'une sainte piété si nous les manions délicatement ou si, en les remettant à leur place (...), nous les maintenons dans une conservation parfaite (...). car il convient de conserver avec plus de soin un livre qu'un soulier.