Le salon comportait un tapis rose, une cheminée de marbre et des meubles dorés à pieds recourbés. Dans un grand fauteuil était assise une énorme femme à cheveux gris, avec des chevilles comme des tuyaux de poêle. Sa robe était plutôt un sac, destiné à contenir sa chair flasque, qu'un vêtement. Elle avait le visage bouffi, trop poudré et trop peint. Ses yeux étaient aussi indifférents que ceux d'un chat. Elle tricotait.