-Voici ma fille Aviendha, dit Amys, et voici ma fille Elayne, nées le même jour, à la même heure. Puissent-elles toujours se protéger, se soutenir, s'aimer.
Elle rit doucement, d'un rire las mais attendri.
-Et maintenant, quelqu'un peut-il nous apporter des vêtement, afin que nous ne mourions pas de froid, mes nouvelle filles et moi ?
À ce moment, Elayne ne se souciait pas de mourir de froid ou non. Elle étreignait Aviendha, riant et pleurant à la fois. Elle avait trouvé sa sœur. Par la Lumière, elle l'avait trouvée !