Avons-nous supprimé la domination de l’aristocratie pour y substituer la tyrannie de la médiocrité ? Avons-nous tué un roi pour nous donner deux millions de despotes ? On en viendrait à croire que nous étions plus libres sous la monarchie où, certes, personne ne m’eût contraint de servir dans la milice bourgeoise. La liberté doit-elle donc, par nature, détruire la liberté ?…