Pour nombre de ses adeptes, le communisme pouvait se targuer de sa « supériorité morale », de ses « valeurs progressistes », de son souci du prochain et de sa défiance à l’égard de l’agression fasciste. Voir Molotov et Ribbentrop sourire ensemble au Kremlin sapa cette conviction, entacha l’image que le communisme mondial avait de lui. (pages 173-174)