Nariman aimait bien employer de nouveaux (et surtout de grands) mots lorsqu'il racontait une histoire. Il estimait qu'il était de son devoir d'initier ces jeunes d'esprit à un vocabulaire aussi chatoyant et varié que possible. S'ils ne pouvaient passer leurs journées à la Cawasji Framji Memorial Library, lui, en revanche, était en mesure de leur apporter quelques extraits de la bibliothèque.