Pontormo ! Il a toujours construit des murs entre lui et les autres, comme à San Lorenzo à Florence. Il a toujours enlevé des échelles pour qu'on ne vienne pas le déranger dans son aire. On comprend mieux qu'avec le temps, il soit passé de la solitude à l'isolement et qu'aujourd'hui, comme depuis toujours, il avance seul et nu vers la vieillesse et la mort.