Tant que je serais vivant, tu ne seras pas seul, fils, dit-il avant de s’éloigner vers l’escalier.
Et cette simple phrase, ces quelques mots empreints de douceur, étaient la raison pour laquelle l’amour que vouait Titus à son père était plus fort que la rancœur du petit garçon qu’il avait été. C’était la bénédiction du sang.